dimanche 23 septembre 2012

Revue Linecoaching : 2 mois après ("maigrir sans régime" 7)

Si vous voulez lire mes autres billets sur la régulation alimentaire, les méthodes de Zermati et d'Apfeldorfer pour maigrir sans régime, ça se passe ici.

Zermati a déjà eu l'occasion de déconseiller à une blogueuse de ne pas exposer sa perte de poids chiffrée sur Internet. Sur Internet comme dans la vie d'ailleurs. Dire officiellement "j'ai perdu tant de kilos", c'est exposer sa "performance", et donc se soumettre à la pression du regard des autres (ou de ce qu'on croit être le regard des autres), notamment de ceux qui nous attendent au tournant. 

En gros, de ceux qui guettent avec impatience le moment où vous reprendrez tout, tout plus une bonification (je n'ignore pas l'existence de ces gens, et pour cause : j'en fais partie). 

Mais je ne peux m'empêcher de croire en ma modeste contribution pour éradiquer les régimes et rendre la méthode de la régulation alimentaire plus populaire. En ce sens, il me semble bon de donner des chiffres. 

Après deux mois de Linecoaching, j'ai perdu quatre kilos. 

C'est sans doute peu aux yeux de beaucoup. C'est sans doute anodin, facile, que pouic, on s'en fout. 
Mais non. Après trois ans à grossir non stop (+ 9 kilos tout de même : je suis l'unique jeune maman que je connaisse qui a pris du poids après son accouchement...), perdre quatre kilos c'est nouveau, croyez-moi. 

Et surtout, perdre quatre kilos en ne m'interdisant absolument AUCUN aliment, c'est tout simplement la preuve que la régulation alimentaire, c'est pas des conneries. 

Car je mange des Kinder Bueno, des Kinder Delice, des Donuts, des brioches au chocolat, du chocolat à la pointe de fleur de sel, des mousses à la fraise la Laitière, des barres glacées Snickers, des lasagnes, de la tartiflette, du poulet au lait de coco, des pâtes à la viande et au beurre et au gruyère avec un oeuf sur le plat parce que c'est encore meilleur. 

Mais aussi des courgettes, des épinards, du filet de lieu noir, de la viande rouge grillée, de la salade, du poireau, des betteraves. 

Et tous ces aliments forment tous ensemble mon quotidien, quotidien alternant les repas riches et les repas légers, les aliments gras et les moins gras, le salé et le sucré, les plats généreux et les dîners faits de "juste un yaourt parce que je n'ai pas très faim", voire rien si je n'ai pas faim du tout. Le tout au rythme des besoins de mon corps, que j'ai appris à écouter davantage. 

Que les choses soient claires : je mange moins, nettement moins qu'avant. Pas de secret : si le corps commence à revenir à son poids d'équilibre, c'est parce que j'ingère moins de calories (au passage : aucune perte de poids n'est envisageable avec cette méthode si vous êtes déjà à votre poids d'équilibre, ou en dessous. Dans ce dernier cas, vous prendrez du poids, logique. Mais vouloir faire un autre poids que celui pour lequel notre corps est programmé c'est comme vouloir se coiffer avec la raie sur le côté alors qu'elle est naturellement au milieu. Pas impossible, certes, mais annonciateur de beaucoup de problèmes). Mais ces calories, je ne les compte pas, pas besoin. Il me "suffit" d'écouter ma faim et ma satiété. 

Beaucoup de choses ont changé dans mon comportement alimentaire, alors que je croyais que j'avais presque tout bon : 

- je prends beaucoup moins de desserts qu'avant. Pas parce que je m'interdis le sucré, houlà non : mais simplement parce qu'un seul plat me suffit la plupart du temps. Si je veux vraiment un dessert, je mange moins avant. 

- manger quelque chose sans faim est devenu presqu'impossible à mes yeux (en dehors des envies de manger émotionnelles, j'entends). Quand j'imagine finir mon assiette ou prendre un autre aliment alors que je suis rassasiée, je sens que j'aurais l'impression de manger du papier, et même que je serais écoeurée. 

- manger quelque chose à cause d'une émotion est toujours possible : mais je le fais nettement moins qu'avant, comme si mon corps avait perdu un peu ce réflexe. Bien sûr, l'année scolaire débute à peine, et les jours vont encore nettement raccourcir (je suis très sensible à la dépression saisonnière) : on verra alors comment je réagis. 

- il m'est arrivé une fois de manger trop (après une engueulade). L'écoeurement qui s'en est suivi m'a bien fait regretter... Loin de moi l'idée que mon estomac a rétréci : l'estomac a une capacité d'environ un litre pour tout le monde, et si on le distend, il revient à sa taille initiale une fois vide. Mais quand on mange trop régulièrement, on finit par s'habituer à cette sensation, un peu comme si on entraînait notre estomac à être trop plein. Bonne nouvelle : cette habitude se perd vite. 

- je mange moins, car je n'ai pas si faim que ça. Normal, mes besoins caloriques de petite femme sédentaire, peu musclée  et en surpoids sont peu élevés. Les occasions de manger avec faim, donc avec plaisir, sont donc assez rares. Par conséquent, je ne veux plus manger que des choses très bonnes (ou au pire, bonnes). Je ne supporte plus de gâcher ma faim avec du médiocre. Autant dire qu'au self je boude les crèmes dessert discount, les fruits sortant du frigo, et je finis rarement mes assiettes. Ne pas manger tout ce à quoi j'avais droit au self fut une épreuve au début : "je paye, je prends". Aujourd'hui, je me dis "Ok, je ne prends pas de dessert, et alors ? L'essentiel, c'est que je mange à ma faim pour le prix du repas non ? Ce n'est pas parce que je mange quelque chose de médiocre, ou sans faim, que j'en aurai plus pour mon argent." En d'autres termes : je ne me prends plus pour une poubelle. Et c'est là qu'on voit que ce n'est pas qu'une histoire de poids. 

Tout cela ne se fait pas du jour au lendemain, et connaître la théorie ne suffit pas. Il s'agit vraiment de changer ses habitudes, ce qui n'est pas chose aisée. Mais, autre bonne nouvelle : c'est possible, et une fois qu'on a changé d'habitude, la nouvelle devient aussi ancrée dans notre quotidien que l'ancienne. C'est de moins en moins difficile de jour en jour, car ce qu'on met en oeuvre comme compétence consciente au début redevient une compétence naturelle. 

Donc voilà, je continue. Logique : je commence à adopter une façon normale de manger. Et je ne compte pas en changer. Même si je retrouve mon poids d'équilibre, je souhaite garder cette façon normale et naturelle de manger. Que peut-on souhaiter d'autre ? 




PS : dernièrement je me suis amusée (ou plutôt torturée) à regarder des vlogs de régimes. Ca me rend triste. Les filles sont tellement persuadées d'avoir trouvé la bonne méthode pour perdre du poids (et comment leur reprocher : elles en perdent !), tellement fières surtout de "réussir" à ne manger que ce que leur dicte leur régime... Alors qu'elles portent souvent dans leur propre discours l'annonce de leur futur échec : "J'ai déjà fait un régime qui m'a fait perdre 10 kilos mais j'ai tout repris"... En s'accusant elles-mêmes bien sûr. Si ça réussit, c'est grâce au régime, si ça rate, c'est à cause du gros. Alors que, comme le dit Zermati, même avec toute la meilleure volonté du monde, vous n'arriverez pas à vous repérer dans Paris si vous utilisez une carte de New York. 





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11 commentaires:

  1. Je n'en suis qu'au début. Ton article est encourageant mais en ce qui me concerne, c'est encore loin d'être gagné!
    On en reparle?

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    1. Une chose importante que j'ai oubliée de préciser (mais mon billet est déjà tellement long !) : mon poids n'a pas bougé d'un poil pendant presque tout le premier mois (cela dit, je ne préfère pas me dire "hey, ça veut dire que j'ai perdu quatre kilos en un seul mois !", parce que je ne veux pas être obsédée par ma balance). Ce premier mois était plein de questions, de doutes même quant à la méthode... Il m'a fallu du temps pour mettre en place de nouvelles habitudes, pour vraiment lancer la machine. Je pense que ça fait partie du processus. Pour certaines personnes, ça met plus de temps d'ailleurs (je pense que ça a été assez vite pour moi parce que j'étais déjà intimement convaincue par les théories de Zermati ; il ne me restait plus qu'à les mettre en pratique en les appliquant à ma propre vie).

      Il faut vraiment s'accrocher, et surtout (mais c'est facile à dire !) ne pas avoir d'objectif de perte de poids : dans l'idéal, il faut prendre cette dernière comme un bonus, la cerise sur le gâteau, et le gâteau c'est : refaire la paix avec son corps et avec une façon normale de manger.

      Une position plus facile consiste à se dire : "Bon, ok, admettons, je ne vais sans doute pas perdre de poids avant un mois, peut-être deux, peut-être 6, peut-être même plus. Mais au moins pendant que je suivrai le programme je ne prendrai pas de poids. C'est déjà pas mal ! Qu'est-ce que ça change finalement que je perde maintenant ou dans le futur ? "

      Bon courage en tout cas !

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  2. ouaip, je reconnais bien tout là... et les envies de manger émotionnelles, je suis à fond dedans depuis dimanche, un deuil, ça pardonne pas. je sais bien que je mange à cause de ça, que je n'ai pas faim, mais je n'arrive pas à gérer autrement. au moins j'en ai conscience, et je sais que ça ne va pas durer.

    ps j'aime vraiment beaucoup tes articles sur ce sujet, mais les autres aussi :)

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    1. Tout d'abord je t'envoie toutes mes pensées les plus réconfortantes pour cette épreuve.

      De mon coté c'est la fatigue de cette période qui n'en finit pas qui a tendance à me faire manger. Depuis que j'ai écrit l'article, j'ai à peine perdu un kilo seulement ce qui montre que la régulation a plus de mal à se faire entendre en ce moment (car je ne pense pas être arrivée à mon poids d'équilibre : je ne suis même pas au poids que je faisais APRES l'accouchement !)
      Comme tu dis, en avoir conscience c'est déjà un pas. Savoir accepter que la nourriture peut être un réconfort ponctuel aussi.

      Bon courage surtout,
      et merci pour les compliments :)

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  3. Bonjour,
    Je suis tentée par le programme Zermati mais peur de l'échec.... j'avoue que les régimes depuis l'âge de 13 ans j'en ai MARRE. Et aujourd'hui avec mes 107 kg je me dis que je n'aurais jamais du mettre le doigt dans cet engrenage car résultats : plus de 50 kilos ! Donc oui je mange plus par émotion, stress, angoisse.... donc la solution serait linecoaching mais voilà j'ai peur....

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    1. Tout d'abord, un grand merci à Mushroom. Je suis coachée depuis 1mois sur linecoaching. Et même si je ne perds pas (encore ) de poids, je n'en prends +, sans aucune restriction, et en se réconciliant avec son corps. Après un Dukan il y a 3 ans, j'ai predu 20kgs : j'ai repris le double ! Comme toi je fais 106kgs et je me sentais mal. J'ai vu zermati dans un mag.télé, j'ai lu son livre. Il m'a convaincu et je me suis inscrite à la méthode en ligne. Les observations sur les prises alimentaires sont un déclic. Je n'ai plus de compulsions alimentaires ! C'est énorme, car ça me rendait triste au final et coupable. Tentes l'expérience, tu n'as rien à perdre, sauf du poids,, certainement de manière + lente et - flagrante que dukan mais DURABLE !! les aliments sont tous les bienvenus en écoutant son corps. Aies confiance, tu en ressortiras + zen et - focalisée sur la nourriture. Yes you can ! Scooby

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    2. Merci Anonyme numéro 2 d'avoir répondu à Anonyme N°1 ! Le fait est que j'avais posté une réponse, qui s'est effacée.... et je n'ai pas eu le courage de la réécrire tout de suite, honte à moi, donc je n'y suis pas revenue.
      Je suis tout à fait d'accord avec l'idée : tu n'as rien à perdre. Et un peu d'argent aussi, certes, mais la dimension financière n'est pas inutile (un peu comme quand on va chez un psy), et je crois surtout que ce n'est pas tellement cela qui te fait hésiter, Anonyme N°1.
      Tu n'as rien à perdre avec linecoaching car ce site ne prescrivant aucune restriction cognitive de l'alimentation (c'est à dire aucun régime), les conseils prodigués ne dérègleront pas davantage tes comportements alimentaires, contrairement à Dukon et compagnie.

      J'ajouterais quelques éléments tirés de mon expérience : la lecture, au minimum, de "Maigrir sans régime" de Zermati me parait indispensable avant de commencer. Même si le site est plutôt pédagogique, le format est forcément plus synthétique que le livre, et certains éléments peuvent paraître un peu énigmatiques.

      Dernière chose : je n'ai pas renouvelé mon abonnement à Linecoaching, et j'ai repris du poids. Super allez vous me dire, la fille qui prône une démarche vouée à l'échec ? Non. En réalité je reste persuadée que la régulation alimentaire est bel et bien la bonne et seule façon d'atteindre son poids d'équilibre et de se réconcilier avec l'alimentation, mai à l'époque j'avais d'autres choses à régler ; la méthode était bonne mais mon inconscient était plein de merdouilles qui m'empêchait de perdre du poids (le poids ayant une fonction très lourde dans mon histoire familiale). Après un "passage (pas éclair du tout) chez le psy et donc après avoir réglé pas mal de choses, j'ai repris la méthode de la régulation alimentaire sans m'inscrire au site, et, pour l'instant, avec encore plus de succès que la première fois.

      Mais je ne considère pas ma première inscription comme un échec : j'ai appris plein de choses, le fait d'être suivie par le site m'a beaucoup aidée au début à réintégrer les bons comportements alimentaires, et le fait de reprendre du poids après m'a fait comprendre qu'il y avait un problème plus profond. Ca été donc une étape, indispensable.

      Conclusion, quoi qu'il arrive, tu avanceras ! Je te souhaite bon courage Anonyme n° 1, et merci Anonyme n°2 pour ton commentaire !

      Je réécrirais peut etre bientôt un autre article sur la RA, mais j'attends d'avoir encore un peu plus de recul.

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    3. si vous aimez vous "décortiquer le nombril" à longueur de temps c'est pour vous !si vous aimez vous posez mille questions avant , et après, avoir avalé le moindre bout de pain c'est pour vous, si vous acceptez de remplir des carnets toutes la sainte journée et vous demandé si , vraiment vous aviez faim avant votre quignon ! et si vous n'aviez plus faim à mi- manger le quignon et si vous manger tout le quignon qu'est ce qui se passe après... c'est pour vous , si vous aimez vous mettre à table sans tv ni rien et passer le temps du repas à vous demander si, vraiment vous aimez ce que vous manger et si vous avez stoppé au milieu du dit repas pour respirer en conscience afin de savoir si vous avez encore faim où non c'est pour vous
      il y a des filles qui sont sur ce site depuis des années à se raconter et ne pas comprendre grand choses désolant !
      manger de tout ??? mais.... parce que bien sûr il y a un mais ....en petite quantité et en dégustant ! attention EN DEGUSTANT pour traquer les envies de manger émotionnelles ...
      enfin un parcours qui plombe , qui vous enlève la joie de vivre et vous ficelle
      je suis rester 3 mois , j'ai pas perdu 1 seul gramme , faut dire que je venais avec peu de kilos à perdre ayant un IMC de 21 mais bon ... j'ai perdu 70 euros ça c'est sûr ! et si je n'avais réagit assez vite j'aurais perdu ma joie de vivre et mon autonomie
      parce que, peut-être que si on veut perdre 30 kilos effectivement un suivi psy peut être nécessaire mais dans ce cas aller plutôt chez un vrai psy qui vous suivra , vous, en personne ! ou une nutritionniste que vous pourrez rencontre régulièrement et qui vous connaitra , à qui vous pourrez parler en "vrai" moi je trouve qu'il dangereux de suivre ce genre de "thérapies", parce que c'en ait une, par correspondance et virtuellement
      de plus dans le bilan on ne tient pas compte de votre poids, on vous répond par rapport à votre surpoids! alors j'ai pas de surpoids ! je veux perdre 4 kilos pour être bien c'est tout mais ça personne en tient compte !
      arnaque et compagnie parce que je vous dis il y a des nanas qui sont là depuis 2011 !4 ans à 23 euros par mois , prélevés mensuellement vous appelez ça comment ?

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    4. Merci pour cet avis... tranché ! Toutes les expériences sont intéressantes, et la vôtre est à prendre en compte. De mon côté, je reconnais que l'aspect "prenons nous la tête en mangeant" peut rebuter, mais aujourd'hui encore, je peux dire que je dois en partie ma perte de poids à cette autre façon de manger, la dégustation. Mais l'aspect commercial du site, le manque de personnalisation des conseils, je vous l'accorde bien volontiers. D'ailleurs je n'ai jamais repris d'abonnement au site après mes trois mois d'essai ; recevoir des conseils de coachs très amateurs ou bien générés par ordinateur ne m'a jamais séduite.

      Se faire suivre par un psy ? Oui, mais c'est difficile quand ce dernier ne comprend pas ce qu'est la régulation alimentaire, et fait partie des gens qui croient encore que "manger équilibré" est la clé de tout et n'est pas un régime... Pire, un psy légèrement grossophobe sur les bords. Pour finir, si vous êtes à votre poids d'équilibre et que vous voulez descendre 4 kilos au dessous, effectivement, la régulation alimentaire n'est pas pour vous :) Mais la sérénité non plus peut-être...

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  4. vous avez raison ce n'est pas évident de trouver un psy qui aille avec vos idées et soit suffisamment à VOTRE écoute , mais comme pour toute chose il faut fouiner ! pour mes 4 kilos, vous avez aussi raison ils n'embarrassent que moi parce que j'ai toujours été très mince à IMC jamais au dessus de 19, 5 ou un peu moins mais c'est aussi ma vraie nature ! donc je me sens vraiment bien avec ce poids léger
    je parle d'un nutritionniste parce que lui peut déterminer selon sa morphologie et ossature ce qu'une personne peut espérer pour être bien et à l'aise , mais je l'avoue aussi c'est difficile à trouver et là encore il faut essayer et fouiner, comme pour tout le reste et SURTOUT ne pas s'en remettre à UN avis ni une promesse rester vigilant et soi-même et savoir ce que l'on veut sans ce laisser influencer , le moins possible tout du moins!
    je sais bien que c'est pas facile mais si on y met de l’énergie et bien on peut , peut-être, y arriver
    merci de votre réponse qui met le doigt sur des aspects que je n'avais pas précisé

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  5. Merci à toutes pour ces échanges factuels et pacifiques.
    Une mine d'infos pour moi qui suis en train de lire le bouquin et suis très convaincue a priori; mais qui suis aussi sensible au fait que cette approche - tout comme la méditation de pleine conscience - requiert du temps, de l'implication, un environnement sans stress majeur - bon courage - et pas seulement de la conviction. Sans parler du côté anonyme, automatique et simplement commercial du site.
    Encore merci et bonne réconciliation à toutes : on a forcément de l'énergie et du bien-être à gagner à ne plus se frustrer, à écouter les sensations communiquées par le corps et au global, à se faire plus confiance.

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